Green IT : CELESTE réduit ses émissions de GES directes de 10% sur un an et se fixe une trajectoire climat ambitieuse d’ici 2030
CELESTE, l’opérateur fibre et cloud pour les entreprises, a réduit de 10% ses émissions de GES du scope 1 en 2022 par rapport à l’année précédente. L’entreprise ambitionne de réduire de 40% son empreinte carbone directe, et indirecte liée à l’énergie, d’ici 2030.
Carbométrix, entreprise mandatée pour mesurer le bilan carbone de CELESTE, a analysé les émissions des gaz à effet de serre des trois scopes regroupant l’ensemble des activités de CELESTE.
En 2022, sur les émissions du scope 1 correspondant à l’activité propre de CELESTE, l’empreinte carbone de l’entreprise a été réduite de 10%.
La réduction globale, tous scopes confondus, est le résultat d’un programme d’actions résolu du groupe :
- Sensibilisation et la formation du personnel aux enjeux de sobriété (MOOC) ;
- Réduction de la consommation de carburants ;
- Optimisation des processus et équipements énergivores.
L’opérateur a récemment reçu le label « Engagé RSE » qui permet à l’entreprise d’inscrire toutes ses activités dans une démarche responsable. Il faut souligner en particulier l’utilisation du « free-cooling », qui optimise la consommation électrique et la réduction de l’impact environnemental des datacenters en récupérant de l’air frais extérieur pour leur refroidissement. CELESTE a été pionnier en la matière depuis la création de son activité d’hébergement.
En 2023, soucieuse du développement durable de ses activités, CELESTE mettra l’accent sur les émissions indirectes (scope 3) comme l’achat d’équipements (fibre, routeurs…), la mise en place d’une charte d’achats responsables et la contractualisation de l’engagement des fournisseurs. CELESTE s’engagera également dans le reconditionnement des matériels utilisés chez ses clients (routeurs, switch, modem…).
D’ici 2030, l’entreprise s’est en outre fixé une trajectoire carbone ambitieuse avec une réduction de plus de 40% des GES (scopes 1 et 2, ce dernier correspondant aux émissions liées à l’électricité et à la chaleur achetées par l’entreprise). Cette ambition repose entre autres sur une augmentation de la part d’énergie renouvelable dans son mix électrique : installation de panneaux photovoltaïques pour alimenter ses datacenters, et électrification de sa flotte automobile.
« Chez CELESTE, nous sommes particulièrement conscients du devoir d’exemplarité en tant qu’acteur numérique. Ces résultats témoignent de notre engagement pour l’environnement et de notre responsabilité d’acteur économique. Nous continuerons nos efforts en améliorant notre efficacité énergétique, tout en maintenant l’innovation, la qualité et la performance de nos services. »
déclare Nicolas Aubé, Président et fondateur de CELESTE.
Selon une récente étude de l’Arcep, le numérique représente 3 à 4 % des émissions de gaz à GES dans le monde et 2,5 % de l’empreinte carbone en France. Si rien n’est fait, ces émissions pourraient augmenter de l’ordre de +60% d’ici 2040, et représenter ainsi 7% des émissions nationales, alerte la mission d’information sur l’empreinte environnementale du numérique du Sénat.